lundi 31 mars 2008

Puma, Nike, Lacoste, Chanel

J'ai bien aimé le cours de la semaine 4, sur les marques.
Suite au visionnement du documentaire de Georges Lewi, directeur général de BEC-Institute, j'ai longuement réfléchi aux marques et à leur signification. Ce que j'ai pu retenir de ce vidéo, c'est qu'une marque n'est pas seulement un logo, elle également une identité donnée au produit qui est empreinte des valeurs et de l'idéologie de son concepteur. Cependant, elle n'exclue pas les valeurs et l'idéologie de son publique cible. On peut donc dans
cette vision s'affirmer sous une marque. Par exemple, si on porte du parfum Chanel # 5, on envoie le message aux autres que nous sommes une femme belle, distinguée, fortunée et indépendante, à l'image de Coco Chanel.


La marque divise donc les individus de notre société en groupe. Chez les jeunes l’appartenance à un groupe, surtout lors
de l’adolescence, semble être très important et elle utilise souvent ce
moyen détourné (la marque) pour être accepté dans celui-ci (groupe). Mais si aujourd’hui il est possible de s’affirmer à travers
des produits de consommation et ce sans différence de race,
de sexe ou d’âge; pourquoi sommes-nous dans une crise de multiculturalisme? Serais-ce parce que la marque ne défini pas tout, comme certain le croit ou tout simplement parce que l’homme est toujours à la recherche d’une identité commune dans son unicité. La crise relève peut-être justement du fait que le multiculturalisme tue l’identité commune d’un peuple pour s’ouvrir à d’autre, un peu comme lorsqu’on délaisse un marque pour une autre!